Mois : octobre 2011

L’armillaire

L’armillaire couleur de miel ou Tête de méduse   L’armillaire est un champignon qui pousse en touffe, parfois importante, sur d’anciennes souches ou aux pieds d’arbre contaminés. C’est un champignon comestible cuit, à consommer de préférence jeune (comme ceux présentés sur la première photo). Il peut aussi se conserver dans de l’huile ou du vinaigre

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Sortie à Reims

    Dimanche dernier, 23 octobre, l’association “Les Amis des Arts de Saint Jean aux Bois” organisait une sortie à Reims avec visite du musée des Beaux Arts le matin, repas ensuite. L’après-midi était consacré à la visite du palais du Tau et de la cathédrale. Bonne et belle journée puisque le temps nous accompagnait

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Sainte Périne (suite)

Malgré son calme et son eau sans ride, l’étang de Sainte Périne n’en n’a pas moins été, au cours de son histoire, le théâtre de drames. Nous en avons relevé trois dont la presse en son temps s’est fait l’écho. Le premier s’est déroulé le 9 juin 1828 :   Dans les comptes rendus de

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Sainte Périne (suite)

L’assassinat du garde Favreau à Sainte Périne   Le 24 octobre 1928, un boucher charcutier de La Croix St Ouen, faisant sa tournée de Sainte Périne et La Brévière, engage sa camionnette dans l’allée forestière qui relie ces deux hameaux. À 150 mètres de l’abbaye il découvre, horriblement mutilé, le corps d’un homme qu’il reconnaît

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Sainte Périne (suite)

  Les pieds dans l’eau. Les bords de l’étang sont plantés de platanes dont certains ont choisi de pousser sur les berges.  Leurs racines, pour quelques uns d’entre eux, plongent à la fois dans le sol et dans l’eau. Ce qui donne ce spectacle curieux d’arbres s’élançant sur l’eau comme pour rejoindre la rive d’en

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Sainte Périne (suite)

Avec la vente de Sainte Périne à Charles X en 1826, nous avons une parfaite illustration de la négation du rôle de la femme tel que le code civil de 1807, dit code Napoléon, l’avait inscrit dans le texte. Lorsque la femme se marie, elle peut être soumise à divers régimes matrimoniaux, mais tous la

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Sainte Périne (suite)

Après leur séjour de 44 ans à Sainte Périne, les religieuses revinrent habiter Compiègne. Après avoir adressé une requête à l’évêque de Soissons elles obtinrent le 10 avril 1645 la permission d’aller s’établir à La Villette près de Paris.   En 1647 les dames de Sainte Périne signèrent un compromis avec la mère  supérieure de

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